Le racisme anti-blancs doit être pris en compte au sein de l’OSCE
Également sur le site Web de l’OSCE
Monday, 23 September 2013
Working session 1: Tolerance and non-discrimination I
Preventing aggressive nationalism, racism and chauvinism.
Au nom de l’International Civil Liberties Alliance[1]
Merci Madame/Monsieur le Moderateur
Au nom de l’International Civil Liberties Alliance je voudrais préciser que la prévention des nationalismes agressifs, pour effectivement participer à la diminution des tensions inter-groupes, doit également impérativement tenir compte de tous les racismes.
De manière récente dans l’Histoire des pays a l’Ouest de Vienne d’importants mouvements migratoires ont modifie la composition des populations autochtones.
Les populations européennes autochtones se voient maintenant dans un nombre grandissant de zones devenir des minorités ethniques cibles de comportements agressifs incluant discriminations, viols et meurtres. Ce phénomène émergeant est connu sous le nom de racisme anti-blanc.
Le racisme anti-blanc est aujourd’hui une source de tension inter-groupes systématiquement minorée voir ignorée par les états participants. Cet état de fait ne peut que contribuer a créer le sentiment qu’il existe un système de justice a deux vitesse dans lequel un crime de haine, frappant le membre d’un groupe considéré comme majoritaire, parce qu’historiquement autochtone, ne sera presque jamais reconnu et puni comme tel.
Cette situation ne peut que renforcer les tensions inter-groupes.
Recommandation :
L’International Civil Liberties Alliance recommande aux états participants de veiller avec une attention accrue a ce que la lutte légitime contre les nationalismes agressifs ne se fasse pas audétriment du devoir d’égale protection de toutes les catégories de populations. Devoir a maintes reprises réitéré dans les engagements pris par les états participants de l’OSCE.