Combien de morts faudra-t-il avant que nous comprenions ?
Ce n’est pas avec surprise mais avec colère que je viens d’apprendre à l’instant la tentative d’assassinat de Lars Hedegaard.
Lars Hedegaard à qui j’ai remis en juillet dernier et au nom de l’International Civil Liberties Alliance le prix des Défenseurs de la Liberté au sein du Parlement Européen de Bruxelles.
Lars Hedegaard, journaliste danois, défenseur de la liberté d’expression, des droits de l’Homme et donc comme moi et beaucoup d’autres, pourfendeur de la charia et de l’islam liberticide des Frères Musulmans et autres Salafistes.
Sans surprise disais-je car, rappelons-le encore une fois, le meurtre de ceux qui critiquent l’islam est inscrit dans tous les manuels de charia du monde y compris ceux qui circulent librement dans tous nos pays.
Mais avec colère car si Lars Hedegaard a survécu ce n’est pas parce que nos pays tolérants et démocratiques sont capables de protéger leurs citoyens lorsqu’ils s’expriment pour dénoncer la barbarie et la dangerosité des promoteurs de l’idéologie islamique nommée charia mais parce que l’arme de l’assassin s’est enrayée ! A force de refuser de traiter les causes de la violence islamique les états font payer le prix de leur inertie à leurs citoyens.
La charia, cette « loi islamique » enseignée en toute impunité dans toutes les mosquées, y compris celle à côté de chez vous, tue les Chrétiens d’Orient, les Juifs, les Hindous, les Bouddhistes et les non-Musulmans depuis des siècles. La charia injecte le poison du mépris et de la haine des « mécréants » dans le cerveau de ses adeptes. Elle est la cause directe et indirecte de malheur, d’oppression, d’esclavage et de misère dans tous les pays dits « musulmans » depuis l’apparition de l’islam il y a 14 siècles et jusqu’à aujourd’hui.
Les adeptes de la charia, que ce soient ceux qui tuent les Coptes et les Musulmans démocrates en Egypte ou ceux qui ici travaillent avec obstination à la fin de la liberté d’expression et à la subversion progressive de nos démocraties par la diffusion d’une idéologie politico-religieuse encourageant et légalisant la violence sont un réel danger.
Ceux qui en Europe osent dire cette vérité, ô combien évidente, sont systématiquement cloués au pilori de « l’islamophobie » par les tenants incultes ou intéressés du politiquement correct.
Aujourd’hui un de ceux qui tentent d’avertir nos sociétés des dangers de l’islam politique vient d’échapper par miracle à la mort, mais d’autres comme Théo van Gogh n’ont pas eu cette chance.
Alors il faut se poser la question : combien de morts faudra-t-il avant que nous comprenions et agissions ?